L'Hôtel Du Désert Ep 05 : Saloperie De Mécanique

L'hôtel du désert
EP 05 : Saloperie de mécanique



Brice avait mal au cul pendant des jours, il avait joui pourtant mais ça, il ne voulait certainement pas l'avouer. Il en rêvait la nuit maintenant. Il rêvait de Johnny. Les jours qu'ils avaient passé entre eux dans le canyon déjà avaient été supers. Mais jusque là, c'était lui l'homme, comme il disait. Et comme il disait, un homme ça se fait pas enculer ! Sur ce dernier point il avait un peu perdu en certitudes.

Johnny travaillait comme un fou sur la voiture de Brice. Ça ne marchait pas comme il l'aurait voulu mais il s'était mis au travail.

Alice s'occupait comme elle pouvait, elle passait des heures derrière son bar devant une salle presque vide. C'était devenu un vrai plaisir pour elle de voir entrer quelqu'un même si le plus souvent c'était Brice ou Johnny. Il y avait aussi quelques locaux, les survivants comme je les appelais un peu plus tôt.

La chaleur était étouffante dans la journée. Plus personne ne bougeait, on entendait quelquefois des bruits qui venaient de l'atelier. Brice ne sortait plus de sa chambre. On frappait à sa porte.

Il allait ouvrir, il y avait une soubrette qui paraissait dans l'ouverture de la porte. Il éclatait de rire. C'était Alice qui venait voir si tout allait bien. Elle avait mis des talon aiguille, des bas, une jupe claire qui s'arrêtait tout en haut de ses cuisses, une ceinture fine à peine plus haut que le bas de la jupe tant la jupe était courte, mais au moins on pouvait voir qu'elle portait une culotte. Elle était beaucoup plus habillée pour la partie haute du costume, une sorte de corsage qui ne recouvrait pas le ventre, s'arrêtait largement au dessus de son nombril et ne couvrait pas la partie supérieure de ses seins, épaules et bras nus bien sûr. La dessus vous posez un tout petit chapeau et vous avez une idée de la tenue.

Elle avait un plateau sur lequel était posé un pot à champagne des glaçons deux flûtes et une bouteille de …

– J'avais pas de champagne mais j'ai emmené du caca-cola !

Brice pouffait de rire à ce commentaire puis reculait en sifflant d'admiration.



– Mais je n'ai rien demandé mademoiselle, c'est vrai que le service de chambre ici est vraiment excellent !

Alice entrait en poussant Brice du bout d'un doigt avec un déhanchement acrobatique, se penchait en avant pour poser le plateau sur la table …

– Maintenant tu regardes, je vais te faire un strip-tease …
– Ça va être rapide avec ce qui te reste sur le dos !

Alice prenait un air faussement agacé, terminait de poser le plateau et commençait à danser en tortillant du cul. Brice admirait ça en rigolant. Le spectacle était improvisé, très amateur et en effet ne durait pas bien longtemps. Il ne fallait que quelques secondes pour qu'Alice se retrouve totalement à poil, elle n'avait en effet pas grand choses sur le dos mais Brice n'était pas vexé pour autant.

Il la regardait avec un grand sourire puis sans prévenir lui sautait dessus, ils atterrissaient sur le lit chacun tenait fermement l'autre dans ses bras. Il ne fallait que quelques instants à Alice pour débarrasser Brice de tous ses vêtements.

Nus les deux corps roulaient l'un sur l'autre. Chaque bras parcourait l'autre corps, chaque main se glissait dans les recoins les plus intimes de l'autre corps. Ces deux commençaient à se connaître et savaient ce qu'ils voulaient.

Alice pour commencer s'allongeait sur Brice, elle plaçait ses genoux sur les épaules de Brice et les refermait sur ses joues. Pendant qu'elle prenait dans sa bouche le sexe de Brice qui était déjà en pleine forme.

Brice, presque pris par surprise gémissait de plaisir puis penchant son visage vers la vulve d'Alice, lui donnait à son tour tout le plaisir qu'il pouvait. Les corps se serraient encore un peu plus, les positions devenaient plus précises, les deux amants roulaient l'un sur l'autre.

Alice sur le dos devait avaler jusqu'à la garde la queue de son amant, elle faisait comme elle pouvait, et Brice pensait avant tout à son propre plaisir, à lui.


D'un geste, d'un mouvement d'épaule Alice faisait savoir qu'elle avait décidé de changer de position et c'était alors Brice qui se retrouvait sur le dos. Alice à son tour ne pensait plus qu'à son propre plaisir, à elle. Et se frottait comme une chatte en chaleur sur le visage de Brice qui finalement laissait faire. Elle relevait la tête et ne la penchait que pour avaler de nouveau la queue de Brice, mais là, il n'arrivait même plus à gémir, son visage coincé entre les cuisses de sa copine.

C'est toujours Alice qui menait le bal. Sans prévenir, sans rien demander elle se retournait et prenant Brice dans ses bras elle s'empalait sur sa queue. Elle était déchaînée la petite Alice et n'avait même pas laissé à Brice le temps de réagir.

Elle imprimait le mouvement de va et vient. Ses seins se balançaient sur la poitrine de Brice qui rapidement suivait le mouvement. Il donnait des coup de bassin contre Alice qui avec des mouvements rapides s'empalait sur la queue de Brice. Ils n'étaient pas vraiment synchronisés et par moment les coups devenaient particulièrement violents.

Ils hurlaient alors en cœur mais ne lâchaient rien, se cramponnaient l'un à l'autre avec encore plus de passion. Alice labourait le dos de Brice avec ses ongles, Brice hurlait mais en réponses il en faisait de même. Ils étaient en sueur, les deux corps baignaient dans leurs transpiration. Il faisait chaud dehors, et dedans c'était encore pire.

C'est au même moment que chacun à joui par et avec l'autre. Un long gémissement suivait, une étreinte forte mais qui devenait maintenant plus douce.

Plus personne ne bougeait, les deux corps se séparaient et se retrouvaient allongé l'un à côté de l'autre, le souffle court, ils étaient trempés, les draps étaient trempés, il faisait chaud, très chaud.

Brice bougeait doucement un doigt sur le ventre d'Alice, elle rigolait.

– Tu me chatouilles ! Lui disait Alice.

– Si tu veux !
– Je ne te demande pas de me chatouiller, je te dis que tu me chatouilles.
– Je peux plus bouger.
– Ton doigt bouge lui.
– Je ne peux plus bouger que le doigt !
– C'est pas une raison ! (elle rigolait toujours ) Tu me chatouilles.
– Écarte toi ! Finissait par conclure Brice .
– Peux pas bouger !

Là c'est Brice qui rigolait …

– C'était quelque chose, il s'est passé quoi là ? Demandait Brice
– Je sais pas ! Lui répondait Alice.
– Je dois avoir le dos en sang moi !
– Fais voir !

Brice se tournait sur le côté.

– Non ça va ! Il y a juste des traces de griffures mais ça ne va pas jusqu'au sang. Tu devrais survivre !
– Ça se voit à peine alors, ça va ! Demandait Brice .
– J'ai pas dit ça, il vaudrait mieux que tu ne te montres pas torse nue pendant plusieurs jour, c'est tout !

Ils finissaient par se relever, se faisait un dernier câlin puis passaient sous la douche.

La douche était fraîche, pas question de mettre l'eau chaude. Alice embrassait tendrement Brice tout en lui passant le savon partout sur le corps. Brice n'avait pas pas prévu ça mais il bandait de nouveau en quelques secondes. Ils prenait Alice dans ses bras, la repoussait contre le mur de la douche, lui relevait une cuisse, se glissait contre elle et avec autant de douceur que de force la pénétrait.

Là elle gémissait de plaisir pour l'encourager.

Elle relevait la jambe encore plus et Brice glissait son bras sous le genoux. Alice passait ses deux bras autour du cou de Brice avec force et se soulevait du sol. Brice passait alors son autre bras sous l'autre genoux d'Alice , elle refermait ses cuisses dans son dos. Il la soulevait et c'est de tout son poids qu'elle s'empalait de nouveau sur la queue de Brice.

Il l'appuyait contre le mur, s'appuyait contre elle et ainsi bien calés, ils pouvait la pilonner de nouveau.
Alice contractait son ventre, contractait ses cuisses. Ils se regardaient dans les yeux et leurs visages appuyés l'un contre l'autre, il s'embrassaient avec passion.

Un peu plus tard quand ils ont gémis de plaisir en jouissant ensemble, en même temps, même sous l'eau froide ils transpiraient.

De nouveau allongés sur le lit.

– Je te fais le service en chambre tout à l'heure ! Avertissait Alice.
– Et ça, c'était quoi alors ? Demandait Brice.
– Il faudra changer les draps, regarde, ils sont trempés …
– Je vais t'aider alors.

Il n'y avait personne d'autre dans l'hôtel aussi Alice ne prenait pas la peine de se rhabiller quand elle est sortie de la chambre. Brice la regardait partir avec un regard vicieux …

– On recommence quand vous voulez mademoiselle, le service en chambre est vraiment excellent ici, je reviendrai !

Elle était habillée quand elle revenait. Elle avait emmené l'aspirateur, Brice l'aidait, il était resté à poil mais devait-elle vraiment s'en formaliser. Il l'a aidé et il ne fallait pas bien longtemps pour que la chambre soit totalement propre.

Ils étaient retombés sur le lit, Alice habillée, Brice toujours à poil.

Elle se blottissait contre lui, lui caressait doucement le ventre, descendait la main jusqu'à son sexe …

– Tu devrais t'habiller pour passer voir Johnny, j'ai entendu un raffut pas possible qui venait de son atelier.
– Je dois m'en inquiéter ?
– Pas ment mais le mieux c'est de lui demander !
– Et depuis quand je devrais m'habiller pour aller voir Johnny, tu sais qu'on est très intime maintenant !

Alice pouffait de rire, se retournait sur lui, lui donnait un baiser sur la bouche, une tape sur le torse et se relevait.

– Passe un pantalon espèce de gros perverse !
– D'abord je ne suis pas gros !

Elle sortait, sans doute avant que ça ne dégénère encore, Brice la suivait quelques instant plus tard. Il avait mis un pantalon et une chemise.

Brice arrivait à l'atelier de Johnny, il était en train de taper de toutes ses forces sur une grande plaque de tôle, comme pour se défouler. Johnny relevait la tête et lançait à Brice un grand sourire. Il s'approchait, il portait une salopette, en dessous il était torse nue. Il attrapait Brice par le col de sa chemise, le tirait fermement vers lui et l'embrassait sur la bouche avec passion.

Au moins c'était clair autant que direct !

N'imaginez surtout pas que Brice s'est défendu, il a attrapé Johnny dans ses bras, lui glissait une main juste sous sons cul et le soulevant à moitié la entraîné, ou plutôt repoussé jusque sur son lit, tout au fond de l'atelier. Johnny tombait sur son lit, Brice lui tombait dessus. En quelques secondes Brice était torse nue et son pantalon était ouvert et comme il n'avait pas pris le temps de mettre un sous vêtement, ses fesses étaient à l'air et déjà Johnny les lui massait avec une main.

Ils se retournaient, Brice était nu allongé sur le dos et profitait de la position pour ouvrir le haut de la salopette de Johnny. Johnny non plus ne portait pas de sous vêtement aussi il ne fallait pas longtemps pour qu'il se retrouve nu lui aussi.

Johnny se précipitait pour prendre dans sa bouche la queue de Brice, toujours très en forme, Brice laissait faire et Johnny lui massait les cuisses, lui glissait une main, des doigts entre les fesses tout en lui malaxant les couilles et en lui suçant la queue avec vigueur.

Brice était un peu surpris mais ne protestait pas, bien au contraire. Il laissait faire un long moment avant de relever son amant de l'allonger sur le dos et de lui sucer la queue à son tour. Un peu plus tard il le retournait sur le côté, lui repliait une jambe, chevauchait la jambe de Johnny qui restait allongée, il avait alors un accès très libre à son cul. Johnny relevait la tête, ils se regardaient droit dans les yeux au moment ou Brice pénétrait Johnny.

Johnny relevait les yeux et fermait ses paupières, il ouvrait grand la bouche mais seul un très léger gémissement en sortait puis il se laissait retomber, brusquement il devenait tout mou.

Brice déjà bien échauffé lui limait le cul avec force, il n'y avait presque pas eu de préliminaires, personne ne s'en offusquait. Brice se lâchait.

Johnny se tordait dans tous les sens, il était souple et repliait son corps et parvenait à caresser celui de Brice, du bout des doigts il parvenait à lui caresser les fesses. Brice se penchait vers Johnny et dans cette position aidait Johnny à lui glisser une doigt entre les fesses puis un doigt dans le cul.

A cet instant Brice à joui, il a crier de plaisir et à joui sans aucun signe préliminaire. Il a alors donné de très violents coups de bassin, son ventre à claqué contre les fesses de Johnny qui a crié aussi, de plaisir également et à joui, il a juté avec force.

Brice s'est écroulé sur Johnny, plus personne ne bougeait, ils étaient en sueur, il transpiraient, il faisait largement aussi chaud dans l'atelier que dans la chambre pourtant l'air y circulait bien plus …

– Alors, bonne baise ? Demandait Johnny.
– T'as pas aimé ?
– Je ne parlais pas de ça, je parlait de tout à l'heure avec Alice !
– Ce sont les marques dans mon dos …
– Vas y fais voir, j'avais pas vu … ( il regardait ) Ah ouai, la vache ! Ça a du être quelque chose …
– Alors pourquoi tu disais ça ?
– La tête que tu faisais quand tu es entré, je l'ai vu à ta figure.
– Et c'est pour ça que tu …
– Non ! C'est parce que je ne voulais pas me faire engueuler …

Brice regardait Johnny sans comprendre.

– Il y a une pièce pour ta voiture qui ne correspond pas, je ne pourrais pas la réparer avant encore un moment …

Brice éclatait de rire.

– Tu vas pas m'engueuler dis ? Saloperie de mécanique … Continuait Johnny.

Brice se penchait vers Johnny et l'embrassait, ce qui répondait un peu à la question. Ils prenaient le temps de récupérer, en partageant un moment de douceur. Brice n'avait pas envie de plus à ce moment.

Ça vous étonne ?

– Non mais j'y crois pas, tu avais vraiment peur que je t'engueule ?
– Non mais, quand je t'ai vu, j'ai brusquement eu envie de toi ! Lui répondait Johnny.

Johnny regardait Brice avec un petit sourire farceur.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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